Etat d'être
Etat d’être
Ce fil de fer qui se déroule
Et entreprend de rompre la gravité
Les sources s’écoulent sur des lits
Qui les embrasent
La beauté se crée dans les quotidiens
Devenus pourpres de plaisir
Le coucher s’annonce lumineux
Et les paroles se grisent
De soupirs
L’échantillon de mes nuits
Courses passagères
A percevoir plus loin que ma raison
Enveloppe mon corps
D’une jouissance inconnue
Que de pleurs oubliés
Dans les jardins suspendus
Ont malmené mes ambitions
Mais ont permis l’illusion
Et de ces cachettes ont lentement
Soulagé mes faiblesses
Faisant de celles-ci
Une douceur à diffuser
Hubert Gréaux
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